Sous la grande tente placée devant le dôme des invalides, place Vauban, des sphères placées de bas en haut reflètent les mannequins qui défilent, très seventies ce qui se passent du coté de chez Dior…

Cette semaine c’était la Première fois que j’assistais au défilé et le spectacle en valait la peine.
Qui es tu, Madame Dior ? Working girl, Dolce Vita woman ou inspiration Audrey Hepburn, tous les looks étaient l’occasion de s’inspirer de l artiste Pop Andy Warhol. Un vrai mélange de style. Le melting pot chez Dior… moi j’aime ça !!
Comme sur pratiquement tous les défilés, on retrouve pas mal de pièces difficile à porter au quotidien mais les intemporels comme le tailleur cintré à la taille et le pantalon cigarette court (qui laisse deviner les chevilles) sont à pâlir d’envie.

La bataille entre les couleurs pastel et les éternels tons gris, rouges et noirs confirment l’allure sophistiquée mais très sexy de notre Miss Dior chérie.

La bataille entre les robes de mousseline, reines de la transparence et décor graphique de l’espace offrirait une bipolarité presque envoutante.

Quant aux beauty focus, chignon, cheveux dégagés, le maquillage est très épuré. La couleur n’est jamais loin quand on fait confiance aux spécialistes des lèvres, et l’on remarque des petits pigments colorés sur la bouche, ce qui égaillera les tenues hivernales.

En résumé, Mention spéciale à Monsieur Raf Simons qui s’adapte bien mais n’oublie pas d’ajouter sa petite touche personnelles….La féminité et l élégance sont les mots d’ordre de cette collection.

Finale du défilé Dior…